Saison Musique au choeur 2013|2014, Concert 2, Samedi 7 décembre 2013
Récital II : Capriccio
Denitsa Kazakova, violon
Programme:
Eric Gaudibert (1936-2012) – Capriccio pour violon seul (1979)
Johann Sebastian Bach (1685-1750) – Partita nº 1 en si mineur, BWV 1002
Allemande – Courante – Sarabande – Bourrée
Veneziela Naydenova – Trois strophes pour violon solo (2013), dédicacées à D. Kazakova
I. (Hommage à E.G(audibert) – II. (game) – III. (labyrint)
Johann Sebastian Bach – Partita nº 3 en mi majeur, BWV 1006
Preludio – Loure – Gavotte en Rondeau – Menuet I – Menuet II – Bourrée – Gigue
Johan Treichel (*1989) – Der Tod des Dichters pour violon solo (2013)
Johann Sebastian Bach – Chaconne de la Partita nº 2 en ré mineur, BWV 1004
Hommage au compositeur Eric Gaudibert, figure majeure de la vie musicale romande et personnalité d’une grande délicatesse, décédé durant l’été 2012. Au centre du programme: Capriccio d’Eric Gaudibert, pièce pour violon seul écrite pour le Concours Tibor Varga de Sion. Cette partition fut offerte à Denitsa Kazakova par le compositeur lors de leurs multiples rencontres entre 2006 et 2007. C’est durant cette période que Gaudibert écrivit Mayn Kind, Mayn Tresyst pour le Duo Nova (Denitsa Kazakova, violon et Jean-Christophe Ducret, guitare).
Des nouvelles pièces pour violon solo de ces anciens élèves Veneziela Naydenova, directrice artistique de la Saison Musique au choeur et Johan Treichel, jeune compositeur neuchâtelois, seront aussi présentées en hommage au compositeur disparu. Les Sonates et Partitas de Johann Sebastian Bach, un monument du répertoire pour violon solo, se feront les accompagnatrices de cette pensée.
Présentation à 17h30 par Veneziela Naydenova avec Denitsa Kazakova et Johan Treichel.
Denitsa Kazakova
« ….cette musicienne est, par ces qualités de violoniste, une personne qui transmet le message musical non seulement avec un grand soin technique, mais aussi et surtout avec passion et une conviction profonde.
Il est important pour un compositeur de rencontrer des interprètes de cette qualité, car ce sont ceux-ci qui transmettent au public et à la génération future le message vivant fixé dans l’écriture des œuvres. »
Eric Gaudibert
Genève, le 20 février 2004