Concert 4

Samedi 19 février 2011

Présentation à 17h30 | Concert à 18h18

Quatuor Terpsycordes

 

Girolamo Bottiglieri, premier violon

Raya Raytcheva, second violon

Caroline Haas, alto

François Grin, violoncelle

 

Au programme:

Joseph Haydn (1732-1809)

Quatuor à cordes en La majeur op. 20 Nr 6 (Hob.III.36) (1772)

Dimitri Chostakovitch (1906-1975)

Quatuor à cordes Nr 11 en fa mineur op. 122 (1966)

Félix Mendelssohn-Bartoldy (1807-1847)

Quatuor à cordes en fa mineur Requiem pour Fanny op. posthume (1847)

Annonce Bulletin des Communes (VN) Bulletin_18.02.2011

Prisme des répertoires, multiplicité des approches musicales, kaléidoscope des personnalités. Autant de facettes qui confèrent au Quatuor Terpsycordes son identité unique, à la fois singulière et plurielle. Récompensé lors de nombreux concours internationaux, dont un Premier Prix à Genève en 2001, ce carré d’archets a su faire rayonner un talent multiple de quatre, homogène et complémentaire dans l’alchimie des musiciens, radical et audacieux dans la lecture des œuvres.

A la scène comme au disque, les Terpsycordes prônent l’éclectisme. Leurs enregistrements, tous salués par la presse spécialisée, reflètent cette volonté de toucher l’essence du texte, à chaque projet, dans une démarche alliant rigueur et fantaisie : La jeune fille et la mort de Schubert révélée pour la toute première fois par les instruments d’époque (Ricercar), Schumann (Opus 41) et Haydn (Opus 33) mis en regard les yeux dans les yeux (Claves), sans oublier des créations contemporaines du compositeur suisse Gregorio Zanon (Claves), et Haydn encore, avec un album consacré aux Sept dernières paroles du Christ en Croix (Ricercar).

Fondé en 1997, basé à Genève, le Quatuor Terpsycordes a suivi l’enseignement de Gábor Takács-Nagy, avant de se perfectionner auprès de membres des quatuors Budapest, Hagen, Lasalle ou Mosaïques, notamment. Galvanisés par le contraste des origines (Italie, Bulgarie et Suisse), ses membres éblouissent régulièrement le public des grandes saisons et festivals de ce monde. Tout en gardant toujours à l’oreille le souffle de la muse Terpsichore, fille de musique qui relie le geste et l’esprit. Terre, psy, cordes.

Voir aussi: www.terpsycordes.com